Les militants et symboles arabes ont largement interagi sur les réseaux sociaux, les autorités jordaniennes annonçant l’arrestation de personnalités – dont l’ancien chef de la cour royale, Basem Ibrahim Awadallah et d’autres – pour des raisons de sécurité, dont les détails n’ont pas encore été révélés.
Les tweeters ont exprimé leur solidarité avec la Jordanie et ont mentionné de nombreuses positions dans lesquelles le Royaume hachémite de Jordanie a soutenu leurs pays.
Les États-Unis et un certain nombre de pays arabes ont exprimé leur solidarité avec la Jordanie, soulignant son rôle important dans la stabilité de la région.
L’Arabie saoudite, l’Égypte, le Qatar, les Émirats, la Turquie, le Koweït, l’Iraq, le Bahreïn, le Liban et d’autres pays ont annoncé leur plein soutien au roi de Jordanie et aux décisions de sécurité qu’il avait prises.
La Ligue des États arabes a affirmé sa solidarité avec les mesures prises par les dirigeants jordaniens pour sauvegarder la sécurité du Royaume et maintenir sa stabilité, à un moment où le Conseil de coopération du Golfe a souligné qu’il se tenait aux côtés de la Jordanie et soutenait les mesures prises pour préserver sa sécurité et stabilité.
Le journal officiel jordanien, Al-Rai, a déclaré aujourd’hui, dimanche, que les intérêts suprêmes, la sécurité et la stabilité du royaume sont «une ligne rouge qui ne peut être franchie ni même abordée».
Au cours d’une session extraordinaire de l’Assemblée nationale jordanienne à l’occasion du centenaire de l’État aujourd’hui, le président du Parlement Abdel Moneim Al-Awdat a déclaré que «hier, notre pays a résolu fermement la tentative de saper notre sécurité et notre stabilité».
À leur tour, les forces armées jordaniennes ont déclaré dans un communiqué qu’il avait demandé au prince Hamzah bin Al-Hussein – demi-frère du roi Abdallah II – d’arrêter toute activité visant à cibler la sécurité.