Des marches ont été renouvelées dans la capitale algérienne et dans d’autres villes vendredi 112e du mouvement populaire, et les participants à la capitale ont lancé des slogans appelant à un changement radical et démocratique et à la mise en place des fondements de l’État de droit.
Ils ont également appelé à l’unité parmi les militants du mouvement après que le Conseil suprême de sécurité a confirmé il y a deux jours qu’il ne tolérerait pas les incitations et les déviations qui ont été enregistrées comme dangereuses par «les cercles séparatistes et les mouvements illégaux avec une référence proche du terrorisme qui exploitent les marches hebdomadaires. ,” il a dit. Lire aussiFuites d’obstacles entravant le développement des relations … La France envoie son commandant d’armée en Algérie et reporte la visite du Premier ministreA l’occasion de l’anniversaire de la chute de Bouteflika … des rassemblements populaires dans plusieurs villes algériennes réclamant un réel changement
Des slogans anti-français sont à nouveau apparus après l’annulation brutale de la visite du Premier ministre français Jean Castex, prévue dimanche, à la demande de l’Algérie.
Un certain nombre de manifestants scandaient: “La France est là et ne fait pas d’ombres, oh les garçons” (la France est de retour, levez-vous, les gars), tandis que les banderoles disaient: “Où que soit la France, la destruction arrive” et “Macron partez. Vous êtes. pas les bienvenus dans le pays des martyrs. “
Et votre émission – symbolisant la France – clique sur la carte de l’Algérie avec le slogan «L’Algérie n’est pas à vendre».
Les manifestants ont appelé à l’unité après que les autorités ont averti le mouvement de “déviations dangereuses” dans ses rangs. Les manifestants ont scandé: «Le peuple est uni!», Réitérant leur opposition aux élections législatives prévues le 12 juin.

Avertissement
Le président algérien Abdelmadjid Tebboune a condamné cette semaine “les activités innocentes et les transgressions sans précédent … qui tentent de faire obstacle au chemin de la démocratie et du développement en Algérie”, notant que l’Etat “ne tolérera pas ces déviations”, après une réunion du Conseil suprême de sécurité. .
La présidence algérienne a indiqué que le Conseil suprême de sécurité avait étudié lors de la réunion “les incitations et les déviations dangereuses qui ont été enregistrées par les milieux séparatistes, et les mouvements illégaux avec une référence proche du terrorisme, qui exploitent les marches hebdomadaires”.
Dans la capitale, les manifestants ont renouvelé leur revendication d’un «pouvoir judiciaire indépendant» et de la libération des prisonniers d’opinion, et ont critiqué la répression et la «criminalisation des rassemblements». Publicité
Selon le Comité national pour la libération des détenus, 60 personnes liées au mouvement sont aujourd’hui derrière les barreaux, dont 30 détenues il y a une semaine.
Le mouvement algérien, qui a débuté en février 2019, rejetant la candidature de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika pour un cinquième mandat, appelle à un changement radical du «système» politique en place depuis l’indépendance du pays en 1962.